Notre "Vintage Mécanic" ou presque à nous qu'on a

Ducati ST 48
Voilà une machine que bien peu connaissent (moi le premier).
Et pourtant, c'est une vraie Ducati. Pas bien grosse (48cm3), plus toute jeune (1967), pas bien compliquée (pas de boite de vitesse), et pourtant tellement mignonne...
A l'initiative du bureau, le DCPB a acheté un cyclomoteur Ducati ST 48.
Le but ? Le remettre en route et assurer un bon nettoyage pour le garder dans son jus.
Nous faisons donc appel aux mécanos soigneux et aux bonnes volontés pour mener ce joli projet à bien. Connaissances en mécanique et en électricité sont les bienvenues. Mais l'huile de coude est aussi précieuse pour raviver les chromes, nettoyer cadres et accessoires, polir les pièces d'alu...
La belle sera bientôt rapatriée dans la concession et examinée par un expert qui dressera la liste des travaux à faire et des pièces manquante ou à remplacer.
En fouillant votre trois pièces réservé à vos ébats mécaniques, vous trouverez peut-être des durites, des câbles et gaines ou toutes autres bricoles qui pourront nous aider. Faute de pièces, vos petites mimines pourront aussi servir...
Merci à ceux qui pourront faire partie de l'aventure.
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Je suis bon à rien, mais prêt à tout, comptez sur moi, je ferai du ponçage télé-travail

Renseignements pris ce midi auprès d'un pro de la restauration moto pour la rénovation des chromes :
- Pâte à polir GLANZOL - Le lien de leur site : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
- Paille de fer Triple 0, puis paille d'alu en finition.

Texte de Gepetto .
SL 48
Allez, c’est parti pour la restauration de cette Ducati Super Light (ou Super Luxe) 48cm3.
Sont présents, par désordre d’importance :
- Dr Ray,
- Éric du 40,
- Tchouc,
- Nicolas,
- L’amie de Nicolas, une Italienne pur jus, confirmé par sa chevelure brune de Romaine,
- Gepetto
La belle endormie est posée sur la table d’opération, le soleil du matin fait office d’un scialytique bien agréable.
Avant toute intervention, le staff médical (le haut du panier) est réuni autour d’un petit « encas ». Foie gras, chiffonnade de jambon, camembert au lait de bufflonne, vin rouge, vin blanc et petite douceurs en provenance directe de Tyrosse.
Le gras sur les doigts aide à enfiler le gants en latex.
Une petite heure à manger et à boire, une autre pour dépiauter la machine. Le boulon qui maintient le bras oscillant a décider de nous faire caguer. On ne l’aura pas aujourd’hui. Pour le reste, tout est photographié, répertorié et rangé dans des petites boites.
Prochaine étape, sortie des chiffons et des produits magiques que l’industrie chimique met à notre disposition, huile de coude et patience.
En parallèle, vérification de l’état du moteur, nettoyage du carburateur, test de l’allumage.  Chacun pourra travailler dans son coin, on ne sera plus à cinq sur la mobylette…
A suivre

La vidéo : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]